Connu sous le nom de Cercle Royal de Léopoldville, ce dernier a été fondé sous forme d’une société coopérative à but non-lucratif le 21 janvier 1923 à Léopoldville, capitale de ce que l’on nommait encore le Congo belge.

Il n’y avait pas de parcours de golf à cette époque, mais seulement un immeuble et quelques terrains de tennis. Le Cercle était logé dans une unique construction sur le boulevard Albert Ier en face de l’actuelle Banque Commerciale Du Congo, où se trouve aujourd’hui un poste de police. Il y avait un billard, des salles de cigares, des tables de jeu de cartes permettant aux hommes européens de l’époque de s’adonner au bridge.





Golf de Léopoldville, 1952, Kinshasa (ancien Léopoldville), République Démocratique du Congo (ancien Congo Belge). Source : Africa Museum – MRAC Tervuren






A l’époque, l’étiquette du Cercle était très stricte : par exemple, après 20 heures, les shorts étaient interdits et il fallait porter une cravate et une veste (voir livret des statuts et règlement du « Cercle Royal de Léopoldville »).
Le Cercle a étendu ses activités au golf en 1952, lorsque Jean Levita et Georges Sladden, représentants du Cercle, achetèrent le terrain adjacent à la société « Établissements Congolais Gillepsie » représentée par leur avocat, Robert Jeanty. Le parcours était déjà construit et exploité avant cette date comme en témoigne les photos du photographe Carlo Lamote issues des archives du Musée Royal de Tervuren.
Le terrain se trouve sur une zone tampon ou neutre entre la Gombe, appelée Kalina à l’époque, habitée par les européens et la “Cité”, le nom donné aux quartiers populaires habités par les africains.
Le parcours était dans cette zone de séparation entre les quartiers des européens et africains. Il faisait partie d’une zone où la nature dominait et séparant les deux populations.
Dans cette zone d’une largeur de 400 m, les urbanistes avaient implanté et aligné le Golf, le cimetière de la Gombe, l’hôpital général (Mama Yemo), le jardin zoologique, le jardin botanique et le marché central.

Dans les années 1950, le cercle hippique de Kinshasa se trouvait dans le golf à côté d’un champ de tir militaire. En 1957, ce dernier a été déplacé à son emplacement actuel dans le quartier d’Ozone, à côté du camp militaire Tshatshi, sur le mont Ngaliema, à quelques kilomètres à l’ouest de la ville.
En 1959, la nationalité des membres du Club se répartit comme suit :
- 252 belges,
- 17 anglais,
- 14 membres de nationalité non-indiquée,
- 13 américains,
- 8 portugais,
- 7 français,
- 6 congolais,
- 5 italiens,
- 4 hollandais,
- 3 suisses,
- 3 allemands,
- 3 suédois,
- 2 polonais,
- 1 russe,
- 1 canadien,
- 1 chinois,
- 1 sud-africain,
- 1 israélite,
- 1 grec,
- 1 japonais,
- 1 autrichien,
- 1 luxembourgeois et
- 1 mexicain.


Indépendance
Président du Cercle : Jacques de Laveleye (’62 ’65 ’66)
Premier Vice-Président : M. André Maus (’62), Baron Herry (’65), H. Graeffe (’66)
Après l’indépendance, le Cercle Royal de Léopoldville devient le Cercle de Kinshasa et perd les références coloniales (“Royal » et « Léopoldville »).


Zaïrianisation (1973)
Président du Cercle : Citoyen Kabimbi Ngoy Kangongwe (‘74 ’75 ’76 ‘77), M. de Laveleye P. A. (’78)
Premier Vice-Président : M. Leyder (‘74), M. de Laveleye P. A. (’75 ’76), Citoyen Ngoy Makabo (’77)
La zaïrianisation se caractérise par le changement de nationalité du président du Cercle. À partir de 1973, pour la première fois dans l’histoire du Cercle, un zaïrois est désigné président 4 années de suite : Citoyen Kabimbi Ngoy Kangongwe. Il est élu « Commissaire du peuple » du Maniema en 1975 par le peuple et nommé par Mobutu.

Années Fumagalli

Président section Golf : Antonio Fumagalli (’85 ’87 ’88 ’89)
En 1985, Antonio Fumagalli est élu Président du Golf. Il acceptera ce mandat, à la condition d’y laisser son empreinte. Ainsi il y laissera, entre autres, la construction du hangar pour les engins d’entretien du parcours et un vestiaire pour les caddies. Ces constructions se sont étalées sur 2 ans pour ne pas grever les finances du golf.
Parallèlement, il décide de transformer les « sands » en greens et, objectif autrement plus ambitieux, retracer le parcours du golf avec la création de nombreux points d’eau, sous forme de petits lacs, caniveaux et fossés pour le rendre plus praticable tout au long de l’année.

Pour ce faire, il invitera (à ses frais), à deux reprises, Jacques Lebreton, Capitaine du Golf de la Bretèche de la chaine Lucien Barrière, aux environs de La Baule (Golf Barrière La Baule). Jacques Lebreton soumettra un projet qui sera, par la suite, revu et réalisé par Sandro Bastianini, propriétaire de la Société Ebico dans les années 1995-1997.
Ce président du golf a dû surmonter de nombreux obstacles. Tout d’abord, l’obtention de l’accord des membres de la section Golf n’était pas évidente, mais plus grande encore était la difficulté de sélectionner l’herbe adéquate qui tapisserait les greens. Des pépinières furent créées sur le terrain, à cet effet, pour tester des échantillons apportés des quatre coins du monde.
De même, un nouveau logo du golf, toujours d’actualité, fût dessiné, et Intervilles et Opens Internationaux furent lancés (ou relancés).


A cette occasion, il accompagnera, plusieurs années de suite, l’équipe de golfeurs représentant le Zaïre au tournoi de golf « Trophée Hassan II » au Royal Golf de Dar Es Salam à Rabat où elle fut toujours reçue somptueusement par les jeunes Princes, dont l’un d’eux, Mohammed VI, allait devenir le Roi du Maroc.
Parenthèse : Mobutu et le projet du golf de N’Sele (1989 à 1991)

En 1989 et à la suite d’un appel d’offre restreint, un entrepreneur italien, Sandro Bastianini entame la construction d’un parcours de golf de classe internationale, « le golf de N’sele » de l’architecte de parcours de golf Robert Berthet (Société Archigolf). Le projet proposait 27 trous dont 9 compacts qui devaient être éclairés la nuit. La pagode chinoise, toujours existante, devait servir de clubhouse.
Mobutu aurait promis de construire 2 parcours de golf supplémentaires : un à Gbadolite et l’autre à Goma.

L’actuel coût total du projet approcherait 20 à 30 millions de dollars américains.
Après un énorme travail de déblaiement, de drainage et de nettoyage de 120 hectares de brousse, tous les grands travaux sont enfin terminés en 1991 – les bunkers, les fairways et les greens. Seul l’engazonnement du terrain restait à achever.

La date d’inauguration avait été fixée et le golfeur professionnel américain Lee Trevino avait même été invité à l’ouverture.
Malheureusement, par faute de paiement, le projet fut brutalement interrompu juste avant la dernière phase.
Aujourd’hui, il ne reste que des vestiges du parcours et ses immeubles.
Années Vidal
Sous la présidence du golf de Robert Vidal (1986), le parcours entier a été clôturé.
Années Ribeiro
Dans les années 1990, le président du golf Antonio Ribeiro (portugais) effectue un grand nettoyage du parcours.
D’après plusieurs sources, il semblerait que le Président Mobutu souhaitait donner au golf de Kinshasa en ville de nouvelles destinations. Heureusement, suites à des pétitions de diplomates et l’intervention directe du roi du Maroc Hassan II, un ami proche à l’ancien président, ce projet a été abandonné.
Pillages 1991
Les pillages de 1991 déciment l’activité économique du pays. Tombant de 300 à 120 membres, les finances du club sont frappées de plein fouet. Trente employés doivent être licenciés.
La crise était si profonde que pendant quelques mois, il n’y avait plus que 5 membres, qui jouaient au golf. Comme il n’y avait plus de membres du comité présents (fuite du aux pillages et l’insécurité), M. Pierre Oudart avait personnellement payé les salaires des employés du golf pendant cette période.
La section golf a aussi reprise la gestion de la buvette du Golf et le restaurant du Cercle.
La gérante engagée pour ce travail était Mme Pina.

Travaux parcours de golf 1995 à 1997

Président du Cercle : Alain Cosyns
Président section golf : Gérard Fol
Greenkeeper : Sandro Bastianini
Le parcours de golf du Cercle de Kinshasa présentait un défaut majeur. Il s’inondait en saison de pluie et devenait injouable.
Sur base du croquis de Jacques Lebreton et Michel Gayon, le greenkeeper et entrepreneur italien, Sandro Bastianini (EBICO) (constructeur du golf de N’Sele) propose au Cercle des travaux de réaménagement du parcours, qu’il exécute gracieusement entre 1995 et 1997 avec les équipements de sa société

C’est ainsi qu’en trois saisons sèches, pendant deux mois chaque année, sa société Ebico retrace tout le parcours : il plante 300 arbres, construit et reconstruit presque tous les bunkers, greens, caniveaux et lacs.
S. Bastianini est donc à l’origine des lacs du golf de Kinshasa dont nous profitons aujourd’hui pour absorber les eaux de pluie et embellir le parcours.
Pour le guider dans ses travaux sur le golf, S. Bastianini s’appuie sur un livre de référence en matière d’entretien des parcours de golf, « Turf Management for golf courses » par James B Beard. Celui-ci lui avait été offert par un membre américain, M. Loftein. Le livre devint une véritable bible pour S. Bastianini.
Avec l’aide de Pierre Oudart, capitaine du golf à l’époque, il entreprend de remodeler tous les trous du parcours pour lui donner son tracé actuel.
Cependant, les travaux de S. Bastianini suscitent beaucoup de résistance de la part de certains membres dont le président du cercle à l’époque, Alain Cosyns.
Malgré l’opposition du président du cercle et quatre pétitions de membres, il mène son projet à son terme et réussit à transformer pour le mieux le parcours. Seize greens ou « browns » qui étaient en sable, sont remplacés par de véritables greens en gazon.
Mais en 1997, échouant, malgré ses efforts à convaincre le comité du golf de poursuivre les travaux, il décide soudainement d’arrêter les travaux.
Avant de quitter le golf, S. Bastianini établit la liste de travaux qu’il avait pu terminer et ceux qui devaient être réalisés après son départ.
NB: Le comité golf était financièrement indépendant du Cercle et avait la liberté d’améliorer le golf sans avoir besoin de l’aval du comité central du Cercle, ce qui lui a permis de complètement refaire le tracé du parcours.
Années 2000 à 2010
Après le coup d’état de Laurent Désiré Kabila en 1997, les finances du club sont au plus bas.

Grace au comité de l’époque, un parrainage très bénéfique avec Vodacom va permettre d’acheter des nouvelles machines conçues pour le golf.
Celles utilisées à cette époque ne convenaient pas mais dépannaient pour un entretien sommaire.
Un effort très important avait été initié par ces comités pour améliorer le golf et surtout les greens.
Il s’agit des tondeuses simplex de green protea venant notamment de l’Afrique du Sud et de plusieurs autres machines spécialisées pour l’entretien du golf.
Une société d’aviation de l’époque, Hewa Bora Airways assurait gratuitement le fret de ces machines.
Le greenkeeper, M. Luc Dormal, avait même réussit à recevoir gratuitement la carotteuse actuelle du Golf de Tervuren.
Des techniciens sud-africains étaient venus expliquer comment aiguiser les tondeuses et un agronome sud-africain a formé l’équipe locale sur la modification de la structure des greens pour améliorer la pousse des herbes et les rendre plus dur et roulant.
Cela avait été fait sous la houlette d’Éric Bourgois, vice-président de la section Golf.
Un pensionné français avait été engagé pour superviser tous ces travails suivis par un agronome congolais.
Grace aux contacts de ce comité un officier Indien de la Mission d’Observation des Nations Unies au Congo (MONUC) avait même réussit à ramener différentes variétés d’herbe de green d’Inde.
Plusieurs pépinières ont été construite à la hâte pour les multiplier et ensuite les tester sur différents greens mais l’amélioration n’avait pas été suffisante.
En 2008, un membre, Karim Noorani, a apporté des graines d’une nouvelle variété le seashore paspalum (paspalum vaginatum) qui a rapidement été multiplié et se révélait être la meilleure de tous les essais précédents.

Le choix était clair et le premier green, le n°8, était planté avec cette herbe. C’était le début de la qualité des greens en herbe actuels.
Sans oublier la refonte du green du 18 par les membres, M. Sandro Bastianini et par la suite, M. Bruno Oudart en 2010.
M. B. Oudart (fils de Pierre Oudart), greenkeeper à l’époque, a aussi amélioré le green du 12 et ses lacs, le green du 17 et l’avant green du 18. Il les a entièrement refait, c’est-à-dire toute leurs conception et structures des greens avec Mikael Burkalter (responsable du Cercle) et Ethienne Ngoma (responsable parcours) en 2010.

L’arrosage automatique des greens aussi a été installé à cette époque.
L’impulsion des comités entre 2000 et 2010 a été la base de la relance de la qualité du golf.
Les inondations du golf qui survenait par de très fortes pluies et l’évacuation ont été multipliée par 2 ou 3 après les travaux sur le boulevard du 30 juin qui ont ramené toute l’eau en quantité vers le drain entre le trou 2 et 3 qui noyait rapidement une partie du terrain.
Nota Bene
C’est avec l’aide de la société d’équipements de parcours de golf, Greenagri et leur directeur général, Alain de Quirini que le greenkeeper de l’époque, Luc Dormal, a reçu gratuitement une carotteuse de green (qui est un outil motorisé complexe et indispensable pour aérer les greens) du golf du Ravenstein.
M. de Qurini avait introduit M. Dormal au greenkeeper du golf en question. Ce dernier a été emballé par les projets du Cercle.
Remerciement pour cette section : Ecrite par Luc Dormal, greenkeeper dans les années 1990.
Années 2010 à 2020

Président du Cercle : Frédéric Flasse (’09 ’10), Yves Cuypers (’11 à ’19), Jean-Philippe Waterschoot (’20)
Président du tennis : Alessandro Galora (’09 ’10), Sven Marinus (’11), David Timsit (’12 ’13)
Président du golf : Robert Melotte (’06 à ’09), Jean-Luc Van Oppens (’10 ’11), Stéphane Kabasu (’12 ’13), Benoit Vraie (’14 à ’17), Amer Achour (’18), Pierre Oudart (’19 à ’21)
Les comités des années 2010 avec les présidents du golf Benoit Vraie, Stéphane Kabasu, Amer Achour et Pierre Oudart, ainsi que leurs comités prennent conscience de la nécessité de poursuivre les travaux de S. Bastianini. Pour améliorer la qualité du parcours, certains fairways sont rehaussés et de nouveaux lacs créés pour absorber les eaux de pluie.
En 2012, M. Stéphane Kabasu (photo ci-haut) devient le premier président congolais de la section golf de l’histoire du Cercle.

Poursuites foncières
Il y a aussi des poursuites foncières contre le Cercle. En 2009, le Cercle doit également affronter des poursuites foncières ciblant son magnifique terrain. Selon une lettre que le Cercle a adressée au Ministre de l’environnement, « des promoteurs immobiliers peu scrupuleux » tentent de s’approprier le terrain. La lettre sollicite du Ministre qu’il reconnaisse le Cercle en espace vert protégé, indivisible et indestructible.
2021
Président du Cercle : Jok Oga
Président section tennis : Issam Ezzedine
Président section golf : Pierre Oudart
Greenkeeper : Jacques Baikpon

En 2020, le sponsor du Cercle le plus important depuis plusieurs décennies, la Banque Commerciale Du Congo, rachetée par la banque kenyane Equity, se retire. La banque congolaise Rawbank prend le relais. Elle finance d’importants investissements dans les infrastructures du golf et du tennis, y compris les vestiaires et un clubhouse surélevé commun pour le tennis et le golf. Lesdits travaux sont maintenant achevés.

Conclusion
Après presque 100 ans d’existence (le 23 janvier 2023), le Cercle de Kinshasa est plus que jamais un des seuls terrains de golf en République Démocratique du Congo avec celui de Lubumbashi.
Et si nous profitons aujourd’hui d’un Cercle d’une telle qualité, en plein centre-ville, nous le devons à la pugnacité, l’énergie, la vision et les sacrifices des anciens présidents du Cercle, du golf et du tennis ainsi que leurs comités respectifs.
Sans oublier :
- Tous les directeurs du Cercle tel qu’Arnaud Bompis, Jean-Luc Delsemme et Hubert Golenvaux,
- Les restaurateurs du restaurant du Cercle sous les noms de « Jardins du Cercle » par Michel Lognoul et l’actuel « Le Cercle Gourmand » par Eric Bourgois et Stephanie Göpfert,
- Les caddies,
- Les travailleurs sur le parcours et les terrains de tennis,
- Les secrétaires,
- Les caddymasters,
- Les jardiniers,
- Les mécaniciens,
- Les électriciens
- Les ramasseurs de balle,
- Les professeurs de tennis comme Randolf Makundi et Denis Kieko
- Les professeurs de golf comme Augustin Kafumpa, Willy Mogbelengu et Jean-Claude Loponda
- Ainsi que tous les autres employés non-cités directement.

C’est donc avec beaucoup de reconnaissance que nous les remercions tous pour avoir maintenu toutes ces années le Cercle en un lieu unique de loisir en République Démocratique du Congo.
Un grand merci à eux de la part des membres du Cercle de 2021, un Cercle qui possède un parcours de golf parmi les plus beaux d’Afrique centrale sans oublier les merveilleux terrains de tennis en terre battue.
Pour conclure, l’existence même du Cercle, après tant de difficultés et circonstances externes difficiles, est un miracle.
Il se dresse encore aujourd’hui au centre de Kinshasa grâce aux passionnés (sponsors, employés et membres) qui se battent jour et nuit pour conserver ce bijou golfique unique en Afrique centrale.
De la part de ceux qui ont contribué au présent document, qui aiment et ont aimé le Cercle, merci pour l’intérêt que vous portez à l’histoire du Cercle qui sert de mémoire pour le Cercle et de ses archives presque perdues et oubliées.
Amicalement,
L’equipe de rédaction et des contributeurs :
- André Kazadi
- Jean-Luc Delsemme
- Hubert Golenvaux
- Karim Noorani
- Khalid Emilio Noorani*
- Luc Dormal
- Marie-Laure Fumagalli
- Pierre Oudart
- Sandro Bastianini
- Serge Rompteau
*joignable pour commentaires et corrections de ce texte par email.
Remerciements

Photo : Rencontre avec Sandro Bastianini, qui a exécuté avec sa société EBICO (et à ses frais) le tracé du parcours actuel entre 95 et 97, et André Kazadi, un ancien membre depuis les années 1970, avec un des contributeurs de cette histoire, Khalid Emilio Noorani en 2021.
Ce travail de retraçage de l’historique du Cercle aurait été impossible sans les orientations, histoires, photos et anecdotes des employés et membres actuels et anciens.
Il y en a beaucoup, mais voici ceux qui ont directement contribués à la création de ce document :
- Professeur Francis-Lelo Nzuzi, professeur ordinaire à l’Université de Kinshasa. Aménagement du territoire, l’aménagement urbain, l’environnement urbain. Pour l’histoire urbanistique et coloniale du golf
- Sandro Bastianini, membre et greenkeeper dans les années 1990. Pour l’histoire du golf des années 1950 à 1997.
- André Kazadi-Kabasele, membre depuis 1975 et responsable maintenance parcours années 90, 00 et 10. Pour l’histoire du golf de 1923 à 2021
- Karim Noorani, ancien capitaine du golf des années 1990. Pour les photos des compétitions Honda 1980.
- Pierre Oudart, président du golf en 2021 et membre depuis plus de 40 ans au cercle. Pour les histoires du golf des années 80, 90, 00 et 2010.
- Pierre Saye, caddymaster au golf depuis 1992 (caddy de 1987-1992). Pour les cartes du golf, d’avoir partagé les photos des années 1980 à 2010.
- Odette Batabula, secrétaire au golf depuis 1993. Pour l’histoire récente du golf et des différents comités
- Marco et Marie-Laure Fumagalli, anciens membres du cercle, fils et épouse, respectivement, de l’ancien président du golf, Antonio Fumagalli. Pour les photos des golfeurs et compétitions des années 80.
- Hubert Golenvaux, directeur général du Cercle en 2021. Pour avoir donné un accès total aux archives du Cercle
- Jean-Luc Delsemme, greenkeeper des années 2010. Pour ses retouches professionnelles aux photos et cartes des archives du golf.
- Luc Dormal, greenkeeper des années 1990-2000. Pour l’historique du Cercle dans les années 1990 et 2000.
- Serge Rompteau, membre en 2022. Pour les corrections détaillées au texte.
In memoriam (2021)
M. | BOURGOIS | Eric | Membre et ancien vice-président du Golf |
M. | BURKHALTER | Michael | Manager Garage – Greenkeeper |
M. | SAEMUNDSSON | Orn | Membre de la section golf |
Images et cartes supplémentaires

Blasons et logos du Cercle de Kinshasa



Intervilles Kinshasa – Lubumbashi, 1988


Visite du Ministre des Sports et Loisirs, 1999
Photos de la visite du ministre des sports et loisirs (possiblement Vincent Mutombo Tshibal).



Golf club de Kinshasa
Un golf de 18 trous situé au coeur de
la ville de Kinshasa. Le Golf Club de Kinshasa
fait partie du Cercle de Kinshasa.